MICHEL COTTA, candidat aux Municipales de Nice en mars 2014

Michel COTTA, candidat aux Municipales de Nice en mars 2014.
Tête de liste "UNISSONS-NOUS" de la "DROITE LIBRE 06"

« L’Avenir de Nice vous appartient. »

Michel COTTA est un homme sincère et loyal dans ses combats et ses amitiés. Un homme politique au service d’une cause à la fois locale et nationale et protectrice des valeurs humanistes de ses concitoyens. 

À l’opposé des politiciens de carrière, des cumulards sans parole et des partis basés sur le culte de la personnalité, Michel COTTA ouvre la voie vers une nouvelle façon de servir les Niçois, une nouvelle façon de nouer des liens forts de proximité et de partage. Ce qui lui vaut d’être soutenu et suivi fidèlement depuis de nombreuses années par des Niçois dynamiques qui participent ensemble à rebâtir une cohésion sociale si souvent abîmée. 

Il dit : « NON ! » à la politique aveugle et assommante de Bruxelles et de Matignon ; « NON ! » à une politique locale de surendettement qui crée des parcs de loisirs avant de créer de l’emploi. Mais il dit : « OUI ! » au bonheur de vivre à Nice, « OUI ! » à une dynamique entrepreneuriale forte, un assainissement protecteur du tissu social, une politique soudée sur la solidarité et la liberté de chacun. 

Michel COTTA, c’est une politique de quartiers, un rassembleur au service des niçois de souche et d’adoption.

Site : http://www.michelcotta.fr/

ACTUALITES

Un mot, Mr COTTA, pour celles et ceux qui vous lisent ?

Engagez-vous. Battez-vous pour ce que vous estimez juste. Nos ancêtres nous ont légué la Démocratie. A Nous de nous en servir. Chaque citoyen est un militant en devenir.

Le salut de notre devenir vient de la participation du peuple à toutes les grandes décisions. Pour moi, une nation, un peuple, une ville, c’est une famille qui s’exprime.

Niçois de souche, Michel COTTA, où avez-vous grandi ?

J’ai passé mon enfance dans le quartier de Nice Nord, rue Joseph Cadeï. Ma mère, fille de bonnetière, vivait dans le quartier St Joseph et mon père est né dans le quartier de Carras. Il y avait une grande solidarité à l’époque. Chaque quartier était une vraie famille.

Cet esprit de résistance et de liberté, d’où la tenez-vous ?

Je la tiens du côté maternel. Ma mère était jeune résistante aux côtés de ses frères et transférait des mots à bicyclette. Elle s’est d’ailleurs faite arrêtée avec ma grand-mère qui a simulé un évanouissement pour s’échapper, rue de la Libération.

Mon oncle, lui, était le Bâtonnier Alexander à Marseille. Il a créé un groupe de résistants dont faisait partie Pierre Merly, ancien maire d’Antibes. Mon père, lui, était entrepreneur dans l’assurance et a su créer 20 emplois dans son cabinet, avenue de la Victoire. Après ma fac de Droit, je l’ai suivi. Il m’a appris le métier.

Quel homme politique êtes-vous ?

En politique, il existe deux sortes d’homme. Ceux qui collaborent et ceux qui résistent. Je refuse l’obéissance dans ce qui n’est pas justifié. Je suis pour l’amour et le partage avant tout et pas pour le chiffre froid, sans limite qui tue dans le silence et l’indifférence.

J’ai un profond respect pour ceux qui résistent à l’inacceptable dans la paix et la tolérance.

La crise vous fait-elle peur ?

(rire)… dans ma carrière, j’ai connu des revers, notamment dans l’immobilier. Ce qui m’a rendu prudent et responsable. Ces expériences m’ont permis d’avoir confiance en mes ressources et d’être serein et actif quoiqu’il arrive.

Quelles sont les expériences qui font de vous un vrai homme politique ?

Je suis un autodidacte. Mes diplômes sont minces, ce qui m’a permis d’avoir une bonne expérience sur le terrain et de développer mon sens pratique. Mon rôle de Président au sein de Nice Elite Sport, au côté de Christophe Pina, champion de karaté, m’a rendu entier, persévérant et à l’écoute des femmes et des hommes qui se donnent à 200%. J’ai été fier de travailler au sein de SIAN de NISSA car j’aime ma ville et ses traditions. Suite à ma présidence au CNI, j’ai été appelé à représenter la tête de liste de la vague bleu Marine aux élections cantonales 2011, qui a été un franc succès.

Mon équipe et moi-même rassemblons des milliers de niçois autour d’une même voix : » Stoppons ce massacre, ce chantage économique intenable, cette immigration que la France ne peut plus se permettre de soutenir. D’autres solutions sont possibles pour construire un avenir meilleur à nos enfants. »

Cette gigantesque araignée qui asphyxie l’Europe et ses nations doit trouver une résistance de taille par une politique locale et humanisée.

Je me sens capable de réunir autour de moi l’énergie de tous mes concitoyens pour un avenir de bon sens et de partage.

Pourquoi cette rupture avec Marine Le Pen ?

Je respecte Marine qui a beaucoup de poigne et de cœur mais Nice ne mérite pas une parachutée parisienne qui n’a que pour seule attache, ici, une résidence secondaire ! et qui ne connait rien aux besoins des niçois.

D’autre part, le RBM rejette en force l’Europe mais il n’est pas concevable de mener une politique forte et responsable par un repli sur soi. D’autres solutions existent notamment par une politique locale adaptée aux besoins de chaque niçois. Le poste du Maire est devenu un enjeu primordial pour soulager les écueils du système mondialiste. Personne ne doit rester seul face à la froideur de ce système financier.

Quelles sont les qualités de votre équipe pour servir le contribuable ?

Nous avons, entre autre, pour mission de lui faciliter la vie par l’allégement des taxes et des paperasses administratives qui découragent nos hommes et nos femmes d’action.

Nous avons la charge de les aider à trouver les interlocuteurs justes qui les protègent et les encouragent. C’est par l’union qu’une entreprise réussie.

Un citoyen actif n’est pas un Don Quichotte qui s’épuise contre des moulins à vent.

-Interview LG agency-